Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 octobre 2011 2 18 /10 /octobre /2011 22:04

Hermanos Sanchez… De la pure flamenca !

 

Duo2.JPG

 

La musique flamenca a ses secrets, mais c’est celui de ses origines qui charme le plus ! Cette musique de l’âme et du cœur les frères Celenio et Ramon du Hermanos Sanchez la font revivre d’année en année sur les scènes d’Europe et des plus grands festivals. Ils seront en concert acoustique au Colisée de Biarritz, dimanche 23 octobre à 18h à l’occasion du 28ème Stage international de Guitare flamenca en Côte basque, avec en première partie, l’ensemble des participants guitaristes du stage. L’incroyable panache et l’entrain des frères Sanchez éblouissent par leur vitesse d’exécution, leur créativité infinie ainsi que l’étude de leurs compositions, qu’elles soient andalouses, sévillanes, de Cadix à Huelva en passant par Malaga. Certes, la musique flamenca est l’un des arts populaires qui contient ce caractère alambiqué de rythmes avec une précision du jeu de guitare dont les Hermanos Sanchez sont les véritables ambassadeurs ! Et ils peuvent s’enorgueillir d’avoir conquis le public des grandes salles parisiennes et d’avoir enregistré de nombreux albums à Séville, d’avoir participé à l’album « Le Top de la Guitare » avec les plus grands. C’est grâce à ce brassage des cultures qu’il a été permis de donner le jour au flamenco. Qu’il soit d’hier, d’aujourd’hui ou de demain, il reste la musique de douleur et d’amour où l’émotion fait atteindre des moments gratifiés et de communion. C’est en entrant dans ce monde fascinant qu’on découvre des émois nouveaux enfouis au fond de soi. Il est probable qu’ils ne vous quitteront pas de sitôt !

 

Les Hermanos Sanchez – dimanche 23 octobre 18h – Colisée Biarritz

Un concert organisé dans le cadre du 28ème stage international de guitare flamenca

Tarif : 15 et 10€

Réservations : 06 15 07 86 46

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 14 au 20 octobre 2011.

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 22:11

Audrey Annette : Du rêve à la réalité …

 

C’est ce qui arrive à Audrey Annette qui fera la première partie du grand Louis Bertignac. Cette jeune auteur compositeur interprète a enrichi sa culture musicale en écoutant des groupes de rock et metal (Knacklown). Eclectique dans ses choix, elle apprécie les Cranberries, Staind Out, comme la pop, le funk, le reggae, le folk, même le slam de Grand Corps Malade, la musique du monde (Mandali). Les incontournables comme Zazie, Deep Purple, Clapton. Dès ses dix ans, dans sa chambre de petite fille, elle gribouille ses premiers textes et fredonne maladroitement ses premières mélodies. Audrey est en admiration devant Céline Dion allant même jusqu’à chanter ses chansons. Dès l’âge de six ans, elle baigne dans l’univers jazzy grâce à son papy trompettiste, ce même grand-père qui lui apprend le solfège et à jouer de la guitare. Pas de doute, elle est bien atteinte par le virus musical. Elle fit également des études musique classique au CRM de la Côte Basque. Souvent on la voit aux Jam Session animées par l’ami Cédric Cosseron du Caveau des Augustins à Bayonne où le public était admiratif. La musique pour elle est un moyen d’échange privilégié, un vecteur de sentiments ressentis. Ses textes sont universels et ses mélodies s’inspirent de tout ce qu’elle perçoit. Et cerise sur le gâteau, elle peut écrire en trois langues. Grâce au Festival « Partageons la Scène » son rêve devient réalité. La voilà sur une vraie scène aux côtés d’une icône du rock !

 

(samedi 8 octobre à 20h30).

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 30 septembre au 6 octobre 2011.

 

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 21:26

Margaux la magnifique !

 

Attention talent !!! La nana qui capte la lumière comme personne, qui révèle une beauté intérieure et qui vous épate s’appelle Margaux. Sans inhibition elle ose son one woman show « Comment éviter les pièges du show bizz » écrit et mis en scène par Cécile Batailler et Fabrice Scwingrouber, au Colisée à Biarritz le 8 octobre à 21h. Cette « arlequine » marque par sa cocasserie et son intelligence. Un bon flair pour les auteurs, car en imaginant margaux.jpg leur intermède, ils savaient qu’ils seraient généreusement servis ! L’exquise Margaux se glisse avec brio dans la peau d’une chanteuse qui a connu une popularité dans les années 90 avec son tube « Et toute la ville en parle » écrit par Didier Barbelivien. La drôle de fantaisiste qui garde la tête froide s’est lâchée et a tout déballé lors de cet entretien.

 

APP : Mais qui es-tu Margaux ?

M : Une superbe et généreuse quadra (rires) qui a vécu des moments magiques sur scène, et à la seule force de sa persévérance et de sa passion, malgré les désillusions dans ce monde impitoyable du show bizz, refait surface pour le meilleur et pour le rire !

APP : L’idée de concilier chant et comédie t’est venue comment ?

M : Aïe ! Il faut parler de choses qui fâchent ? Aucune maison de disque ne voulait me re-signer après quelques années d’absence et… 10kg en plus ! (rires). Et oui, dans ce milieu il ne faut être ni trop vieille, trop moche ou trop grosse ! Et les personnes en mesure de m’aider étaient à la retraite ou décédées. Combative et euphorique, j’ai décidé de remonter sur scène avec ce que je savais faire, chanter, et ce que je ne soupçonnais pas, être capable de jouer la comédie.

APP : Et toujours accro au show bizz ?

M : Avant tout, c’est le contact avec le public, puis le plaisir de la création, de pouvoir écrire et rêver son spectacle. Entre rire, larmes et tendresse, être là au bon moment. Mais ça n’est pas toujours évident. Puis j’ai découvert la mise en scène. Oh la la, quel labeur !

APP : Cet univers n’est pas évident pour une femme ?

M : Oh que oui ! Cela m’a valu un divorce, l’exil au Québec durant dix ans et une sacrée dépression. Crois-moi, lorsque tu te retrouves à 24 ans sur la scène de l’Olympia ou du Casino de Paris avec des noms prestigieux autour de toi et que tu te produis dans quelques pays du monde, c’est grisant ! Ensuite, c’est la chute parce que la p’tite Margaux n’a pas voulu dégrafer son corsage à certains matous libidineux ! Et là tu te retrouves sans le grand bol de lait pour te nourrir ! Alors tu n’as plus qu’à faire de la couture ou des confitures ! (rires).

APP : Et Laurence Vanhove dans tout cela ?

M : Une femme d’affaires qui s’échappe de temps en temps de scène pour faire tourner sa maison de production « Victoria Music » qui marche bien. Heureuse d’avoir l’exclusivité pour la France du groupe Killer Queen, le seul homologué par Queen. J’espère aussi reconduire le Festival Bidart en Rire pour une deuxième année.

APP : Parle-nous de ton spectacle. Qui sont les auteurs ?

M : C’est une petite version comédie musicale, le petit guide du routard du show bizz, où je dis à ceux qui veulent entrer dans la carrière : « Attention, métier magique mais complètement faux, c’est le miroir aux alouettes, la peau de banane qu’on n’hésite pas à mettre sous tes pieds », mais je le dis en chansons et par la comédie. Les auteurs ? Cécile Batailler et Fabrice Schwingrouber, metteurs en scène et comédiens qui m’ont accordé du temps et de la patience. Pour mon retour sur scène, c’est prometteur. Mais touchons du bois et croisons les doigts. Yalla ! (rires).

APP : Malgré les aléas professionnels, quelle est la devise de Margaux et de Laurence Vanhove ?

M : Vis ta vie, suis tes rêves et reste toi-même. Cherche à plaire mais pas d’exhib. Apporte le bonheur et le rire aux autres. Permets-moi de faire ma petite pub « je vous invite dans mon grenier où je vide mes malles et remémore les bons ou mauvais souvenirs de la chanteuse qui a eu sa petite heure de gloire et son presque million d’albums vendus. Malgré mes formes généreuses, je suis toujours aussi heureuse de monter sur scène et de tout vous donner ! (Message reçu 5/5).

 

De sa voix chaude, Margaux la magnifique nous convie dans sa réalité parallèle. L’artiste atypique ravit et séduit, offrant un divertimento d’une grande fraîcheur où ses désillusions s’allient à la badinerie. Elle raconte avec esprit, ironie et complaisance son point de vue sur le monde impitoyable du show bizz. Et explique aux artistes en devenir, comment éviter les pièges ! On est charmé par sa personnalité de fantaisiste accessible et populaire. A mon avis Margaux est une belle séductrice qui s’ignore !

 

Margaux – Colisée à Biarritz à 21h – Comment éviter les pièges du show bizz

Tarif : 15€

Réservations : 05 598 71 32 81

Le site de Margaux : www.victoriamusic.fr logo

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 30 septembre au 6 octobre 2011.

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 20:59

Les Tambours du Bronx. Taper sur des bidons, c’est bon !

 

2007-04-27-TamboursDB_image.jpg

 

Les Tambours du Bronx sont 17 frappeurs dingues, bien français, baraqués et tatoués. Un groupe de percussions urbaines qui a vu le jour en 1987 dans une commune proche de Nevers, dans un quartier appelé « Le Bronx ». Mondialement connu, (le 25 septembre dernier il était au Brésil pour le Festival Rock in Rio pour la première planétaire), et fiers de s’entourer de prestigieux interprètes de l’univers musical. Sur scène, c’est la tonitruante intox de bidons de fer, frappés violemment par des manches de pioche. C’est bath parce qu’on s’en prend plein la tronche et que taper sur des bidons… c’est bon ! Le groupe sera pour le plus grand plaisir d’un bon nombre de batteurs, salle Saint-Jean à Anglet le 7 octobre à 20h30, convié par les initiateurs du premier festival « Partageons la scène » et la direction culturelle de la ville. Leurs rythmes fabriqués s’ouvrent largement aux mélodies et vont des polyphonies complexes, enchevêtrées, puissantes et enivrantes au subtil mélange musclé qui en a fait l’une des références internationales en percus expérimentales et musique industrielle, allant de l’afro-beat au rock, la techno passant par le hip-hop et les musiques du monde. Ces exécutants ne ménagent pas leurs efforts pour offrir une exhibition époustouflante d’où l’on ressort avec une pêche « jerrycanesque » ! Leur richesse et communion musicale sont un moment rare à partager entre tous les gars du monde, car ici pas de barrière de langues, on se comprend « orchestralement ». Les Tambours du Bronx, c’est le « brasero » d’une autre musique !

 

Partageons la Scène et la Ville d’Anglet présentent : Les Tambours du Bronx – 7 octobre à 20h30 – Salle Saint-Jean à Anglet

Tarif unique : 25€

Réservations dans les points de vente habituels et à la librairie Elkar à Bayonne

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 30 septembre au 6 octobre 2011.

 

partageonslascene.jpg

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 20:57

Buhaminak… vous connaissez ?

 

La chorale « Buhaminak » c’est 34 voix féminines dirigées depuis 2001 par Sophie Larrandaburu. Pour célébrer son 10ème anniversaire, ce chœur de femmes propose une soirée au Théâtre de Bayonne vendredi 7 octobre à 20h30.

Une réjouissance consacrée au chant, à la musique et à la danse et de nombreux invités. Pour n’en citer que quelques-uns : Les Femmes turques de la pastorale de Larrau, Maïalen Errotabéhère, Oldarra… et son répertoire basque, enrichi de chants espagnol, brésilien, mexicain et africain. Des chanteuses qui symbolisent avec passion la voix de femme dépositaire des folklores, des coutumes du quotidien et de l’intime. Des voix de mémoire qui retiennent le récit identitaire, le récit oscillant, le récit mouvant. Des voix qui se fusionnent et s’unissent pour légitimer le réel féminin. On cueille la voix des unes et des autres qui s’orchestrent dans l’espace harmonique et des chants qui reconquièrent les inflexions populaires. Le chœur Buhaminak dévoile avec saveur la face cachée de notre héritage vocal et crée sur scène un espace poétique très personnel. Ces rendez-vous sont une histoire d’amour entre les sons et l’oreille exercée de leur chef chorus qui rend les véritables dimensions et le lien secret entre l’harmonie des accords et des sons par sa vibration. Les voix de Buhaminak allient la lumière, la mise en espace et les intonations qui leur permettent de s’ouvrir vers d’autres horizons musicaux. Buhaminak, c’est une manière vivante de découvrir un patrimoine partagé à travers l’instrument commun : la voix.

 

Le chœur Buhaminak – vendredi 7 octobre à 20h30 – Scène Nationale Bayonne Sud-Aquitain

Tarif : 10€ Prévente à la librairie Elkar

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 30 septembre au 6 octobre 2011.

 

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 02:52

Entractes-Organisations… La saison est ouverte !

entractes-organisations.jpg

Entractes-Organisations, c’est la carte de visite, mais aussi la confiance indéfectible qu’accorde le public envers Michel Loupien depuis une quinzaine d’années. Les « échos favorables » n’échappent pas à cet homme de loisirs et l’encouragent à poursuivre son action culturelle pour la ville de Biarritz où la salle de la Gare du Midi demeure le lieu majeur de la saison. Son plaisir est de faire partager ses émois artistiques qui se veulent résolument ouverts à tous. Une programmation réputée pour sa qualité et sa diversité, et une fierté d’avoir une audience qui dépasse le cadre de la région, des abonnés fidèles, des spectacles variés où théâtre, musique, danse, chant et humour occupent une place privilégiée.

Pour citer Michel Loupien : « ma programmation théâtre est essentiellement basée sur les succès parisiens de la saison précédente. Pour l’opéra, la musique, le ballet ou les grandes productions internationales, je collabore directement avec les producteurs. Bien sûr, j’entreprends d’en voir un maximum dès leur création à Paris. Je fais mon choix sur place avant qu’ils ne partent en tournée. » L’homme de spectacles a élaboré par une savante alchimie un programme qui offre à chacun la possibilité d’explorer ses sentiments, ses émotions, son monde extérieur. La culture d’aujourd’hui révèle avec intensité ce que notre société a de moderne et d’humain et qui nous transporte dans l’espace ou dans le temps. Celle qui nous fait aussi aimer l’art de l’écriture et celui de la narration. Nous faire découvrir ceux qui jonglent avec les mots ou la gestuelle afin de les suivre dans des rendez-vous exceptionnels.

 

JUGEZ DONC DE LA PROGRAMMATION NON EXHAUSTIVE :

 

Celtic Legends … un tout nouveau spectacle et une équipe passionnée de son pays l’Irlande, sa culture et son histoire. Représentation exceptionnelle en live rythmée par le tempo impétueux des claquettes. 10 octobre à 20h30.

 

L’Opéra de Pékin… la virtuosité, l’élite d’artistes chinois dans la discipline d’acrobatie, jonglage, chant, danse, mime, musique, arts martiaux, parés de costumes chatoyants. Superbe nuit de Chine de haut vol. 14 octobre à 20h30.

 

Le Trouvère… (titrage français) Opéra des plus populaires du répertoire de Verdi, où son intrigue tient de la gageure des malédictions, de jalousies et rivalités entre frères, des amours impossibles, des drames sanglants.

 

Et pas une ride ! … Michèle Bernier, cette sublime artiste revient mettre le couvert. Une vraie comédienne, une Maillan chaleureuse et moderne, à l’humour dévastateur. 2 novembre à 20h30.

 

Nono … (comédie de Sacha Guitry) avec la fille de Gégé grande gueule, Julie Depardieu qui est un véritable sac à malices, délicieuse et mutine, c’est le piment de la soirée. Et c’est tout l’esprit du grand Guitry.

 

C’est pas le moment ! … Mais si, mais si, faut pas rater la rencontre entre Manuel Gélin, fils de … et de l’inénarrable Jacques Balutin ou comment se sortir d’une situation qui devient vite inextricable et que les mensonges accumulés n’arrangent en rien. 14 novembre à 20h30.

 

Chicago Blues… A living History… Le plus grand et bel hommage que l’on puisse donner de nos jours au Chicago Blues. Un voyage musical passionnant à travers la tradition du blues. 19 novembre à 20h30.

 

Le Cirque Bleu du Vietnam … Un cirque différent de renommée internationale. Le cirque de Ho Chiminh qui connaît un succès sans cesse grandissant. Pour petits et grands, c’est un moment unique et inoubliable. 20 novembre à 17h.

 

Aida opéra de Verdi. L’œuvre la plus spectaculaire du compositeur. Une histoire et l’action totalement imaginaire qui se déroulent à Memphis et à Thèbes à l’époque de la toute puissance des pharaons. On se souvient toujours de la marche triomphale dite « marche des trompettes ». 21 novembre à 20h30.

 

Le Lac des Cygnes. Par le Saint-Pétersburg Ballet Théâtre et en collaboration avec Malandain Ballet Biarritz. L’œuvre inoubliable de Tchaïkovski sur une chorégraphie de Marius Petipa. Les amours impossibles du Prince Siegfried et de la belle Odette, reine des cygnes. 25 novembre à 20h30.

 

Concert Beethoven. Par le Prague Philarmonic Orchestra avec la 5ème symphonie en ut mineur Op.67, Concerto n° 4 pour piano et orchestre en sol majeur. Fidelio : ouverture. 6 décembre à 20h30.

 

Soy de Cuba. Comédie musicale en live où s’entremêlent souffrance, soumission, rébellions, conquêtes et défaites, tristesse et allégresse. Des cigares, du rhum et salsa. Un véritable cocktail de sensualité. 11 décembre à 16h30.

 

Andalousie. Le grand spectacle de réveillon, l’inoubliable opérette de Francis Lopez. 31 décembre à 20h.

 

Le Technicien avec Roland Giraud et sa femme Maaïk Jansen réunis sur un même plateau. On se croirait au bon vieux temps de « Au théâtre ce soir ». 10 janvier à 20h30.

 

Don Quichotte par le Saint-Petersburg Ballet Théâtre qui est inspiré du roman délicieusement écrit par Cervantès. Un classique dont personne ne se lasse. 17 janvier à 20h30.

 

L’Orchestre Symphonique des 100 violons Tziganes de Budapest. Des musiciens incomparables qui déclenchent l’enthousiasme et qui laissent le public médusé. 7 février à 20h30.

 

Le Tour du Monde en 80 jours. Sur glace ! ou revisiter Jules Verne à travers l’adaptation originale qui mélange patinage et théâtre. Un Philippe Candeloro au mieux de sa forme. 12 février à 17h.

 

Tosca de Puccini… (titrage français). L’un des plus remarquables et des plus prestigieux opéra du répertoire Puccini.

 

Maria Diva. L’évocation en musique et en textes de la vie et de la carrière de Maria Calas. 28 avril à 20h30.

 

Anne Roumanoff. Dans Anne tout naturellement ! Regard perspicace et humour vache, Anne se livre avec son aisance burlesque. 26 mai à 20h30.

 

Et de nombreux autres spectacles dont nous aurons l’occasion de parler dans les colonnes de la Semaine du Pays basque. Mais un conseil d’ami : établissez votre programme culturel et abonnez-vous, vous serez sûrs d’avoir des places à des prix avantageux et de voir des spectacles que vous ne voulez pas manquer. Il vous suffit pour cela d’appeler le : 05 59 59 23 79 ou de vous connecter sur www.entractes-organisations.com

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 23 au 29 septembre 2011.Biarritz Gare du Midi

Partager cet article
Repost0
27 septembre 2011 2 27 /09 /septembre /2011 22:30

Jazz sur l’herbe ... des réjouissances jazzy !

jazz-sur-lherbe.jpg

Arcad et la ville d’Anglet s’associent pour cette 4ème édition de « Jazz sur l’herbe » qui campe sur le Domaine de Baroja, dimanche 18 septembre de 12h30 à 19h. Une journée consacrée aux fervents et néophytes du jazz. Qu’ils soient en famille, en couple ou entre amis, ils pourront assister à une série de concerts gratuits pendant quelques heures avec les acteurs de l’impulsion du swing !

Jazz sur l’herbe se veut un appel à s’enivrer des saveurs jazzy, de sensibiliser le public pour cette discipline musicale authentique, et généreuse et d’en faire apprécier le langage. Et pourquoi pas l’inciter à la curiosité et découvrir de nouveaux talents. C’est ici une belle conception des rapports entre le musicien et son instrument. Une musique à l’émotion pure qui s’inscrit dans la circulation générale des idées, des créations de l’esprit, un art de l’expression bon pour la délectation. Jazz sur l’herbe, c’est une organisation de premier ordre, un programme soigné et un enthousiasme de grand calibre. Il est également l’étonnante rencontre artistique avec des créateurs issus d’univers différents et qui font la belle expérience de se réunir sur un même site champêtre. Et sa particularité, celle d’inviter un artiste de renommée internationale. Tous sont des fildeféristes sur des notes qui jonglent avec les accords improvisés ou écrits.

Jazz sur l’herbe se veut une programmation variée et se refuse à confiner le jazz sur une période courte, limitée à quelques esthétiques. Il a donc invité Giovanni Mirabassi Trio qui présentera le répertoire du Live in Tokyo et quelques nouveaux titres de son futur album. Son jazz reflète la liberté où l’on savoure un répertoire recherché, composé aux deux tiers par le pianiste Giovanni Mirabassi, avec la complicité de Gianluca Renzi et Lukmil Perez Herrera. Autre invité le Quatuor Kairos et Philippe de Ezcurra qui rendront hommage à Astor Piazzola et au tango argentin. Un répertoire large et éclectique allant d’Haendel à Debussy, de Gerschwinn à Beethoven, de Purcell à des compositeurs actuels. Ces quatre musiciennes sont originaires du Pays basque, de Toulouse et de Bordeaux. Quant à Philippe de Ezcurra, interprète, compositeur et arrangeur, c’est l’artiste aux multiples facettes. Un excellent musicien sorti de l’ombre qui occupe de plus en plus la scène en solo.

Ensuite le Swong Sextet l’une des plus intéressantes formation du Sud-Ouest qui réunit en son sein six talentueux musiciens de la scène actuelle, tous acteurs du jazz en Aquitaine, et du cheminement musical montant de son leader, le saxophoniste Stéphane Barbier. La musique de ce sextet est riche et dense, d’une énergie communicative qui laisse l’auditeur nourri d’ondes positives. Enfin le Wab and The Funky Machine nous délivre son opus qui transpire le groove par tous les pores. Leurs notes aphrodisiaques donnent envie de bouger ! Musique et photographie sont souvent complices, et cette année pour immortaliser cette manifestation, jazz sur l’herbe a donné carte blanche à Marie et Delphine Tambourindeguy pour son visuel 2011. N’oublions pas aussi la formule « pique-nique musical » dans ce lieu hors du temps. En somme, c’est une fort belle invitation sur l’herbe !

 

En savoir plus sur la programmation et plan : http://www.arcad64.net/jazzseptembre2011.html ou 06 99 62 89 34

 

Article paru dans la ‘Semaine du Pays Basque’ du 16 au 22 septembre 2011.baroja.jpg

Partager cet article
Repost0
29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 22:50

Magic Lockwood !

Lockwood-par-Thomas-Dorn---copie.jpg

Didier Lockwood ce fou du violon, révèle un émoi majeur dans des styles où il donne l'ampleur de son talent de jazzman. Le Casino Municipal de Biarritz met en lumière cet instrumentiste doué, fils spirituel de Stéphane Grappelli, le 26 août à 21h.

Il sera en duo avec un géant de la guitare manouche, Bireli Lagrène, digne héritier de Django et l'un des rares musiciens français reconnu internationalement. Leur connivence, fruit d'une écoute mutuelle, privilégie la complémentarité, ne tournant jamais à la partie de bras de fer ! Le répertoire du jazzophile est diversifié et démontre un lyrisme jazzy et blues sans emphase. Il possède un lyrisme musical qui lui permet d'enjamber l'assortiment de ses compositions sans se poser trop prudemment à la lisière des genres. Des morceaux jazz envoûtants de rythme où s'embrasent énergie et musicalité. Laissez-vous emporter par ce maelström mélodieux sans pareil. La maestria et l'humeur de l'artiste se fondent avec passion dans un programme subtilement composé ! On dresse une oreille gourmande et on en redemande !

"Jazz in Casino" Didier Lockwood et Bireli Lagrène au Casino Municipal de Biarritz le 26 août.

Partager cet article
Repost0
18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 21:17
Partager cet article
Repost0
18 août 2011 4 18 /08 /août /2011 01:58

Papa Style et Baldas … Nouvelle inspiration reggae !

 

Nouveaux Souffles (l’album sortira en septembre 2011 chez XRay Productions) 3ème opus du groupe Papa Style et Baldas (qui a assuré les premières parties de Danakil), est à la fois généreux, imagé, varié et qui transpire le reggae à tous les étages ! L’occasion de les rencontrer à Tarnos plage au bar Le Lézard des sables vendredi 12 août à 22h.papastyleetbaldas.jpg

Textes originaux, impliqués, sans compromis, désobéissant d’une manière originale au reggae bien français par leurs côtés parfois en désaccords, mais toujours plein d’esprit. Les deux compagnons Johann et Cristobal qui, en 2002 ont créé le groupe, se différencient par la variété des cadences proposées, alliant les rythmes languides et posés du reggae roots, à la force du ska et du raggamuffin. Ils ne s’interdisent rien et proposent une nouvelle inspiration sur la scène reggae. On convient d’un certain humour et d’une énergie remarquable qui donnent envie de les écouter et de les voir. Ils sauront surprendre leurs fans avec de nouvelles compositions. Un duo multi instrumentistes qui vous livre son reggae haut en couleur et amical, et qui risque de vous saisir bien davantage car il a mis un tigre dans son moteur ! Ce dernier album est beaucoup plus syncrétique que les précédents, annonçant une œuvre aboutie qui ne laissera pas indifférent et leur musique en live prendra tout un sens ! Une belle aventure qui continuera sur les routes de France avec le Fantastic Summer Tour. Le reggae s’écoute mais il se respire aussi ! Fondamentales mais magiques, ses notes prennent le spectateur par les sens, quand ce n’est pas par le cœur, aux sons de ses tempos qui sont autant d’hymnes populaires.

 

Papa Style et Baldas – Le Lézard des sables – Tarnos plage – vendredi 12 août à 22h

Tarifs : spectacle gratuit

En première partie de David Cairol

 

Zone commerciale de Zirlinga – Bidart – 22 août à 21h30

Tarifs : spectacle gratuit

En première partie de Tom Frager, Gwayav et Peps

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 12 au 18 août 2011.

Partager cet article
Repost0

L'ECRITURE... MA PASSION

alain-pierre pereira

 

Ma profession de journaliste culturel me permet de faire de belles rencontres artistiques dans diverses disciplines, et mes seules motivations sont spontanéité, probité, et sincérité. Mon but n'est pas de me montrer souple ou indulgent, et encore moins celui d'être virulent ou acrimonieux (sauf dans certains cas). Mes jugements seront rarement dans la négativité. Si je ne suis pas dans l'attrait ou la fascination, je préfère ne pas en parler ; pour la simple raison : le respect du travail apporté. Lucide que "toute création" signifie de mettre son énergie (car tout créateur au prime abord donne ce qu'il a de meilleur). En un mot, la seule raison de ce blog, est de vous faire partager mes coups de cœur, mes enthousiasmes, voire mon admiration et ma tendresse pour les artistes.

Alain-Pierre Pereira.

Sans titre 5

Rechercher

WALL SNICKER

Catégories