Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 19:30

1948194_599793583445772_1393908300_n.jpg

CORREO EXPRESS
Du 20 au 22 février 2014
20h30
LUNA NEGRA Café-théâtre

logo luna

Partager cet article
Repost0
9 février 2014 7 09 /02 /février /2014 20:48

« J’y crois pas », le théâtre amateur n’est pas mort.


2014-PHOTOS-0759.jpg« J’y crois pas » présentée par l’Arta Théâtre à la MVC balichon à Bayonne, samedi 8 février à 20h30 est une pièce que l’on peut qualifier de vaudevillesque.

La pièce commence par l’enterrement du père, directeur d’entreprise. S’en suivent les flashbacks sur les raisons de la mort de cet ingénieur en informatique au chômage qui fit sa fortune en créant sa propre entreprise d’épluchage de fruits « fruit et pluches ». Des personnages truculents se succèdent comme les pique-assiettes, la femme infidèle, la fille encore scotchée à l’enfance, le curieux qui veut savoir combien a coûté l’enterrement, la femme overbookée et ses triplés, qui nous racontent à leur façon le déroulement de l’histoire. Viens enfin la présentatrice de télévision qui nous dévoile le fin mot de cette pièce à la fois drôle et délirante. Le tout mené avec vivacité par des acteurs bien en place, campés dans leurs personnages. Et évidemment, comme tout vaudeville qui se respecte, le coup d’éclat final.  2014-PHOTOS-0820.jpg

« J’y crois pas », une pièce écrite par les acteurs eux-mêmes. Mise en scène par Claire Vidal, notre chère « mamy boomeuse ».

 

Alicia Snicker.

Partager cet article
Repost0
27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 20:19

Comme s’il en pleuvait, ou la folie de l’argent !

 

Image2.jpgPierre Arditi dit de la pièce : « Le problème dans cette pièce, c’est ce que le fric fait de vous. Quand on parle fric, ce sont des tonnes d’argent. C’est un peu comme de l’alcool ou de la drogue, c’est-à-dire qu’à un moment donné on perd les repères… qui sont ceux de la vie. ».

Evelyne Buyle dit de la pièce : « L’argent, c’est une énergie, et cette énergie, il faut qu’elle circule, qu’elle circule bien. Qu’on en ait pas peur, ni même culpabiliser. »

« Comme s’il en pleuvait » présenté sur la scène de la Gare du Midi à Biarritz le 28 janvier à 20h30 raconte l’histoire de Bruno, anesthésiste et de Laurence, directrice d’école, un couple sans histoire, qui découvre un soir de l’argent dans leur salon. Et tous les jours des billets de banque apparaissent, de plus en plus nombreux. Mais d’où provient cet argent ? Pourquoi ces billets arrivent chez eux ? Cette fortune soudaine est-elle une aubaine ou une condamnation ? Mais certainement une comédie cocasse et inénarrable sur la folie de l’argent.

C’est un Pierre Arditi au plus haut de sa forme, sans pour cela tirer la couverture à lui, car sa partenaire Evelyne Buyle lui fait largement contrepartie, avec l’effet ping-pong et des répliques qui atteignent leur but et… comme s’il en pleuvait ! L’auteur, Sébastien Thiéry ne s’est pas lancé dans une pièce démonstrative, satirique, traçant son texte vers l’insolite et l’inaccoutumé, mais également dans la folie de l’argent. On est dans une ambiance complètement irréelle, car comment résister à ces millions d’euros tombés d’on ne sait où ? Ce n’est pas chose facile à admettre et à comprendre. C’est disons-le féroce. Ce couple qui s’intercepte et qui se lâche est magistral, réjouissant et fait pleurer … de rire. Dès le départ de l’écriture de la pièce, l’auteur a pensé à Pierre Arditi. Il a pris un malin plaisir à le faire maltraiter sa femme de ménage espagnole ou dire des pires horreurs à son épouse lorsque celle-ci lui propose de donner l’argent à de bonnes œuvres. C’est un beau cadeau à son acteur qui peut passer en un fragment de seconde de la parfaite mauvaise foi (sa marque de fabrique) à l’angoisse la plus absolue. L’acteur est comme un poisson dans l’eau dans l’univers de l’auteur. Un vrai régal pour lui d’incarner ce personnage très politiquement incorrect. Et dans ce délire, sa partenaire lui donne la main. Tellement vraie et naturelle, qu’elle nous fait tout avaler. On rit beaucoup, mais on rit jaune aussi, car le spectateur a comme un sentiment d’inconfort. Mais comme toute pièce de boulevard, cela se terminera par un coup… de théâtre qui en dit long sur notre société. L’auteur malin lâche ses personnages dans des volutes de peur et de panique pour notre plus grand plaisir. C’est une pièce qui fait pleuvoir les rires et ça fonctionne ! Le couple haut en couleurs est entouré avec panache par les deux autres partenaires, Véronique Boulanger et Gilles-Gaston Dreyfus, dans une mise en scène efficace de Bernard Murat. Le public prendra plaisir à s’amuser et rire, d’un regard à la fois étranger et normal. C’est une comédie coup de cœur, une véritable découverte. Une satire sociale menée dans un train d’enfer et diaboliquement troussée. Mais prenez garde tout de même à la folie de l’argent !

 

Comme s’il en pleuvait avec Pierre Arditi et Evelyne Buyle – 28 janvier à 20h30 – Gare du Midi Biarritz

Tarifs : 50 et 45€

Réservations : 05 59 22 44 66 et www.entractes-organisations.com

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 24 au 30 janvier 2014.

Partager cet article
Repost0
18 août 2013 7 18 /08 /août /2013 01:00

Musiques aux jardins : Mignonne allons voir si la rose…

 

Photo_LEONARD.jpgLe 24 août à 21h30 au Théâtre de Verdure, Rempart de Mousserolles, l’immense comédien Michaël Lonsdale sera l’invité d’honneur de Musiques aux Jardins, pour une lecture accompagné au piano par Patrick Scheyder, connu pour ^être un compositeur et improvisateur, où s’associent harmonieusement différents arts : musique, littérature et jardins. Le spectacle « La Rose et la Biodiversité », édition 2013 permettra d’entendre des textes de Gilles Clément, Umberto Ecco, Jean-Marc Petit, Hubert Reeves, Ronsard et Musset, sur des musiques de Schubert, Strauss, Tchaïkovski. Une création végétale qui transmet des messages sur une promenade en compagnie des hommes et des plantes. Celle aussi de l’entrée d’espèces végétales étrangères adoptée dans notre culture. Une largeur d’esprit sur la variété des cultures horticoles, potagères et des civilisations ! Voici ce que pense l’acteur sur la nature : « j’aime beaucoup la Nature, elle est quotidienne dans ma vie. Les fleurs et leurs couleurs m’inspirent particulièrement ; je suis infiniment sensible à la rose ; c’est la reine des fleurs. A mes moments de loisir je ne peins d’ailleurs que des végétaux. Regardez aussi la beauté des couleurs d’un coucher de soleil ! J’ai passé une partie de mon enfance au Maroc, où beaucoup d’endroits sont très verdoyants, contrairement à l’image que l’on s’en fait. Je participe à Musiques aux Jardins avec Patrick et Monique, car j’aime apparaître là où on ne m’attend pas, les pieds dans les herbes folles… Saint-François d’Assise parlait aux oiseaux, mais aussi Saint-Antoine de Padoue qui parlait aux poissons. Pour le croyant, la Nature est le reflet de la création de Dieu. Et j’aime beaucoup la musique, j’en écoute en peignant. Par ailleurs, j’apprécie la notion d’improvisation. Dans les années 70, j’ai ainsi participé à des expériences de théâtre musical. On créait avec le corps des sons-mots inouïs que je n’aurais jamais imaginés possibles. Cette pratique met l’imaginaire en mouvement, elle introduit une dose d’humour en musique, ce qui est plutôt rare ! J’aime les beaux textes. Dans la lecture je ne cherche pas à ‘jouer’ le texte. Il doit s’imposer naturellement avec simplicité. Il faut laisser parler le texte. ». Le plus ravi de tous, c’est Patrick Scheyder, pianiste et comédien, mélangeur de musique et inventeur du festival. Un vrai homme orchestre, à qui une rencontre avec les jardiniers municipaux a donné l’idée de ce mariage. Ce qui lui fait dire : « Le monde du jardin est un monde sonore. Inventer des sons, improviser une harmonie, c’était aussi parler de la biodiversité de façon ludique et agréable ! ».

 

Musiques aux Jardins – Théâtre de Verdure, Remparts de Mousserolles Bayonne – 24 aout à 21h30

Tarifs : Entrée libre

Informations : 05 59 46 61 59

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 16 au 22 aout 2013.

 

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2013 3 17 /07 /juillet /2013 03:48
Partager cet article
Repost0
9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 00:21

Pourquoi pas nous ? Le spectacle rafraîchissant de l’été

 

430337_305969159467522_432537785_n.jpg©Fabien Maigrat.

 

Deux frères qui n’ont qu’un seul point commun : leur mère ! L’un étudiant en médecine, raffiné, distingué, mais en proie au doute suite à une rupture amoureuse (Farid Amziane) ; l’autre, chômeur et parasite, grande gueule, de mauvaise foi et égocentrique (Benoît Joubert)… Mais ne déflorons pas l’histoire, il faut venir les voir du 17 au 19 juillet à 20h30 à la Luna Negra. Dans cette loufoquerie moderne et animée, nos deux lascars, dès leur entrée, emballent par leur brin de folie, leur vitalité et leur sens du rythme et de l’à-propos. Ils sont sidérants d’énergie. D’entrée de jeu, ils accrochent par leurs exercices d’échauffement verbaux. On sent qu’ils se font entièrement confiance, parce qu’ils se tendent la main et se renvoient la balle au bon moment. Un match de ping-pong fort réussi et divertissant. Un excellent jeu de comédiens sans filet. Ces deux-là pourraient s’inscrire dans la lignée des duos comiques français parce qu’ils se complètent. La couverture n’est jamais tirée vers soi. Et le public les remercie spontanément, parce qu’ils émanent tour à tour, humour, générosité, sympathie et talent. Quatre mamelles brillantissimes de ces frères… tendrement ennemis ! Des duettistes qui fonctionnent parfaitement. A mon avis, deux frères qui continueront à grandir ensemble ! Car chacun a sa belle et propre personnalité et son registre. Pourquoi pas nous ? Le spectacle rafraîchissant de l’été !

432069_506608926070210_899825079.jpgPourquoi pas nous ? - Farid Amziane et Benoît Joubert - du 17 au 19 juillet à 20h30 - Luna Negra Bayonne  logo luna

Tarifs : 15, 12 et 8 €

Réservations : 05 59 25 78 05 et www.lunanegra.fr

 

Article paru dans 'la Semaine du Pays Basque' du 5 au 11 juillet 2013.


Partager cet article
Repost0
17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 00:22

 


ART ET FENETRES

 


Art aux fenêtres :  je jette, tu jettes aux poubelles...


Delwood-IMG_1246-copie-1.JPGL’Art aux Fenêtres, c’est la 4e année que la MVC de Saint-Etienne Bayonne et l’Association Arcard invitent les visiteurs, mais aussi les habitants de Habas-la-Plaine à prêter leurs fenêtres pour permettre aux artistes locaux et créateurs, qu’ils soient amateurs ou professionnels, d’exposer leurs travaux et leurs œuvres. L’Art aux Fenêtres est une animation dans un quartier populaire et en pleine évolution, celle qui favorise des rencontres tout en s’amusant, sans qu’il s’agisse d’une exposition au sens propre du terme. Tout se passe à l’extérieur et il suffit de se balader dans les rues pour découvrir des trésors de créations, avec peut-être cette envie de se mettre à la pratique des arts plastiques. Cette manifestation d’un jour, le 16 juin de 14h à 21h, permet aux habitants de découvrir des univers artistiques, mais également d’échanger avec des créateurs venus de tous horizons, plasticiens comme Marie Tambourindeguy ou Delwood, sculpture avec Julien Righi, théâtre avec la Cie les Cous Lisses, chanteurs/comédiens avec Guy Lamour et Mademoiselle Bijou, orchestre de bal avec Bal’O Gadjo et les enfants ne seront pas oubliés. En 2013, découvrez l’or de vos poubelles où les artistes créent en direct à partir des matériaux ou objets de rebut. Les Ambassadeurs du Tri de l’Agglomération Côte basque-Adour, Acba et Bil ta Garbi, seront présents sur un stand d’information et d’ateliers ludiques. Ils approcheront, avec un angle nouveau, l’idée de prévention, en se référant notamment sur les desseins et les volontés de l’association Arcad. A travers ces supports de matériaux, visiteurs et habitants comprennent ainsi la masse de ce qui est jeté et portent un autre regard sur le « déchet » qui devient un matériau pour construire du « beau ». Les artistes du projet associent depuis longtemps cette démarche dans leur travail et l’expliquent aux publics. Arcard et la MVC Saint-Etienne ont souhaité aller plus loin dans le propos et associent l’artiste provocateur et instructeur de conscience… aux agents spécialistes du sujet du tri et de la gérance des déchets.

Informations pratiques : l’Art aux Fenêtres, dimanche 16 juin de 14h à 21h, Habas-la-Plaine (Quartier Saint-Etienne). Accès libre. Bus ligne A2 (direction  Bayonne Sainsontan). Programmation sur www.arcad64.fr et mvc-bayonne-saintetienne.org - contact Arcad (programmation) 09 54 69 56 03 – MVC 05 59 50 11 55.

Site Web : http://www.arcard64.fr

 

Article paru dans 'la Semaine du Pays Basque' du 14 au 20 juin 2013.


Partager cet article
Repost0
30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 18:29

 

Partager cet article
Repost0
29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 19:53

La contrebasse : l’éloge des émotions.

 

cornillac_la_contrebasse.jpg« La contrebasse est l’instrument le plus gros, le plus puissant et le plus indispensable de l’orchestre, le plus beau aussi ! », dit le contrebassiste. Mais bientôt l’éloge pompeux laisse affleurer les frustrations et les rancœurs du musicien et de l’homme. Et peu à peu, la haine d’abord refoulée de cette encombrante compagne s’exprime, se déchaine et explose jusqu’à la folie… Ce soliloque émouvant et drôle de l’auteur du best-seller « Le parfum », a tenu l’affiche en Allemagne pendant plusieurs années, ainsi qu’en France avec le talentueux comédien disparu, Jacques Villeret qui l’avait interprété magistralement en 1991 et le jouant plusieurs centaines de fois. Et c’est le 30 avril à 20h30 que le public basque découvrira à la Gare du Midi, Clovis Cornillac sur scène. Ce grand comédien de théâtre, devenu un excellent acteur de cinéma, revient à ses premières amours. Et il servira haut la main le texte de l’auteur Patrick Süskind, tout en rendant un hommage, peut-être à contrario, à Jacques Villeret. Clovis Cornillac incarne ce personnage d’une autre façon, donnant une nouvelle vision au texte de Süskind. Un défi qu’il a voulu relever sans vouloir s’opposer à l’acteur disparu, et il a réussi à le faire, avec la complicité du metteur en scène Daniel Benoin. Mais la tâche ne fut pas aisée tant le texte semble marqué par l’interprétation qu’en avait fait son créateur, voilà plus de vingt ans. En relisant le texte de « La contrebasse », on s’aperçoit qu’il peut être réinterprété, repensé, traduit d’une autre manière ou envisagé sous un autre angle et sans doute oser une conception nouvelle. Le comédien Cornillac est magistral, parce qu’il nous fait découvrir avec brio, les dessous de la vie d’orchestre. Mais aussi celle d’un contrebassiste qui sombre lentement vers la solitude et la folie. En filant la métaphore musicale, on pourrait dire qu’il est le chef d’orchestre de sa propre interprétation. D’un texte difficile dont il en fait saisir toutes les nuances, il tient les spectateurs de bout en bout. Voilà un acteur qui a de la profondeur ! Sans oublier le décor à l’unisson de cet enfermement, plus symbolique que réaliste, qui nous amène, par son apparent dépouillement, à l’intérieur du monde mental du contrebassiste. Personnage attachant et cocasse, qui progressivement, va révéler un tout autre visage. Un homme pour le moins singulier, dévoré par la musique, secoué dans l’existence, victime d’un amour obsessionnel et fantasmagorique. Cette petite pièce plonge dans le cynisme et l’humour mordant. Et nous accompagnons le narrateur jusqu’à la chute dans une certaine folie où se révèlent tous les vices cachés de cet instrument encombrant. C’est une humanité blessée qui se dévoile, traversant la générosité et les faiblesses d’un homme, obligeant à regarder à l’intérieur de soi. « La contrebasse », c’est un moment soutenu, ponctué de passages « du rire aux larmes ».

 

Clovis Cornillac dans « La contrebasse » - 30 avril à 20h30 – Gare du Midi Biarritz  gareBiarritz-e751c

Tarifs : de 32 à 48€

Réservations : 05 59 22 44 66 et www.entractes-organisations.com

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 26 avril au 2 mai 2013.

Partager cet article
Repost0
15 avril 2013 1 15 /04 /avril /2013 21:13

Les Bodin’s

Et la saga continue !

 

iris7800074358460667644Le duo BODIN’S, c’est vraiment tordant. Une histoire bien ficelée et qui tient bon la route. Du tellement vrai dans les scènes rurales, que chacun de nous s’y reconnait un peu. Et c’es là la clef de son succès. Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet, c’est l’excellent jeu d’acteurs, qui ont le sens de la formule et des répliques qui fouettent. Des répliques si savoureuses qu’on aimerait s’en rappeler pour les resservir le moment opportun afin d’amuser la galerie. Vous l’aurez compris, « Retour au pays » programmé à la Gare du Midi le 12 avril à 20h30, c’est crédible tant sur le fond que sur la forme. Le spectacle se renforce et se conclue avec panache. A noter au passage, un burlesque digne des Marx Brothers, tiré au cordeau. C’est fort bien échafaudé, avec des scènes de durée inégale, nécessaires à l’intrigue, entremêlées de délire et d’émotion. Une gauloiserie qui déferle par vagues continues, mais qui se rassérène pour laisser sourdre l’écume de la tendresse et des sentiments. Parfois un peu rustaud, mais paradoxe, chez les Bodin’s, on n’est pas libidineux. Les mains sont plus enclines aux torgnoles qu’aux caresses, et les goguenardises pleuvent plus facilement que les mots tendres ! C’est du pur concentré Bodin’s ! Mais voilà, tout bascule, les masques tombent, les vérités fusent, la méchanceté tempère, faisant place à un commencement d’affection retenue qui ouvre une nouvelle porte. Autre élément quantifiable de la forme, la bande son. C’est une valeur ajoutée. Les Bodin’s, deux ruraux débonnaires et si proches de nous, auxquels on s’attache fortement.

 

Les Bodin’s « Retour au pays » - vendredi 12 avril à 20h30 – Gare du Midi Biarritz  gareBiarritz-e751c

Tarifs : 35€ (25€ pour les moins de 12 ans)

Réservations : 05 59 22 44 66  et www.prolymp.com

 

Article paru dans ‘la Semaine du Pays Basque’ du 12 au 18 avril 2013.

Partager cet article
Repost0

L'ECRITURE... MA PASSION

alain-pierre pereira

 

Ma profession de journaliste culturel me permet de faire de belles rencontres artistiques dans diverses disciplines, et mes seules motivations sont spontanéité, probité, et sincérité. Mon but n'est pas de me montrer souple ou indulgent, et encore moins celui d'être virulent ou acrimonieux (sauf dans certains cas). Mes jugements seront rarement dans la négativité. Si je ne suis pas dans l'attrait ou la fascination, je préfère ne pas en parler ; pour la simple raison : le respect du travail apporté. Lucide que "toute création" signifie de mettre son énergie (car tout créateur au prime abord donne ce qu'il a de meilleur). En un mot, la seule raison de ce blog, est de vous faire partager mes coups de cœur, mes enthousiasmes, voire mon admiration et ma tendresse pour les artistes.

Alain-Pierre Pereira.

Sans titre 5

Rechercher

WALL SNICKER

Catégories